Ultime étape: RIO DE JANEIRO
Du vendredi 24 au lundi 27 juillet 2009 : « Si tu vas à Rio…n’oublies pas de monter là-haut »
Nous débarquons dans l’aéroport situé en plein cœur de la ville. Rio nous accueille sous un lever de soleil rose et magnifique.
Nous partons à la recherche du musée d’art contemporain dessiné par le plus célèbre des architectes brésiliens : Oscar Niemeyer. On croirait une soucoupe posée là par hasard.
L’intérieur n’est pas très grand, on y voit quelques œuvres intéressantes.
Malgré la fatigue, nous trouvons la force de sortir dans le quartier le plus fameux de Rio pour ses soirées enflammées, Lapa, où nous logeons. Il y a effectivement beaucoup d’oiseaux de nuit, beaucoup de boîtes à la musique trop forte, et dehors, des groupes qui jouent des percussions avec un public qui danse sous la pluie.
Nous empruntons un petit tramway pour visiter Santa Theresa, un coin très bobo de Rio.
Scènes de rue
Notre « couch surfeuse », Raquel, qui a accepté de nous accueillir deux nuits, vient nous chercher pour nous amener à l’autre bout de Rio où elle habite. Le soir, elle nous amène à une fête où ont été conviés les amis, la famille, les voisins. Chacun a rapporté un bon petit plat. Justine et moi en profitons pour goûter à toutes les spécialités culinaires du pays.
Le dimanche,nous allons sur la plus célèbre des plages, Copacabana, où des milliers de brésiliens viennent se balader, courir, faire du roller, jouer au volley, se baigner, etc. Il fait bon vivre au Brésil.
Promenade de Copacabana
Pour terminer en beauté, lundi, nous montons au sommet du pain de sucre d’où nous avons un panorama sur la baie de Rio, avec ses buildings, ses bidons-ville, ses plages infinies et le « monte cristo » qui nous ouvre les bras au loin.
En haut à droite, on aperçoit le Monte Cristo au loin.
Vers Ipanema (la plage qui a donné son nom à la fameuse chanson « The girl of Ipanema »), nous dénichons un beau surf pour Philippe que Justine est chargée de ramener à Morlaix.
Ciao Rio...
Lundi soir, arrive le grand départ. Je laisse Justine qui est à Rio pour une nuit encore et embarque pour London, d’où je rejoindrai, enfin, notre Bretagne natale.